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  • adrienfried

Vivre indéfiniment

Vivre indéfiniment pour ne pas plaire à des idéaux inconnaissables.


Je ne suis plus qui j’étais, je suis un esprit nu, indéfini et cherchant la vérité que chaque instant propose.


Simplement se donner à ce qu’il y a de plus haut. Je créé ma réalité, l’inspiration des autres me donne des ailes, je vole et je suis la trame de mon chemin qui s’éveille.


Je suis et je vibre la réverbération de l’énergie avec laquelle je suis complice.


Qualité et culpabilité se côtoient,



L’aveugle transcende l’invisible.




Nous sommes sommes nous sommes une somme nous sommes nous somnolons d’un sommne somnnnnnnnnneeee sommes de la somnubulance sans somme sommée au sommet



Corazon immenso


Je suis un être indéfini. Indéfinissable ? Je ne puis dire. Définissez moi, dénichez la goutte de rosée de mon âme. Trouvez-y ce qu’il y a de beau en vous-même.


?


Perte de sens et de repères. Ils n’étaient qu’un figment de notre …


Quête de sens

Cervelle inconsolable

Somnambulisme

Bulle dispersée

Vision déchaînée



Plus jamais rien ne pourra vaincre l’indicible de notre vie, plus jamais l’occident ne se mettra à la place de l’orient dans notre être.


Rise à l’essentiel, remonte la pente de la machine à l’accom plissement.


Romps les barrières !!!!!


Vis et revis

Revisse et révise-toi, tu n’as qu’à révéler le renouvellement de la réverbération


En seras tu repu ?


Requiers plus de la vie, quieres más.




Un pas dans la bonne direction, un autre dans une autre, est-elle bonne aussi ?

Sont-elles toutes bonnes ?

J’en doute.

Et pourtant…


Notre sort on s’en sort pas.



Chaque décision est un portail vers une réalité possible. Vers quel axe se diriger ?


Je ne mange que ce qui me semble être de la nourriture.

Que veut mon être ?

Je me souviens de qui je suis

Et je fonce

Vers l’attrait de l’inconnu

Bien qu’il puisse être effrayant.


Je ne connais que l’incandescence de ma tumescence.

Les sens sans sensation ne sont sûrement pas susurrés sans raison

Je ne peux forcer le destin que jusqu’au point où je suis dans l’abandon.


Simplement se délecter de la simplicité, pas besoin de rechercher quelque chose de plus fou.




Maintenant es-tu prêt à recevoir la lumière divine de l’inspiration ?




Il ne faudra pas que tu cesses de t’embraser









Embrasse-moi et nourris-toi

Liquide transmission




Dans un corps d’eau brûlant

La chair vive accentue la profondeur

De ta plaie

Elle te plaît




Purifie ton esprit

Sois-le, soigne-le















Blanc sur noir. Rien de plus clair…





Quelque chose d’instable s’accueille, le chaos est invité.

Raah le corps s’omnubile, je ne le suis plus

Perdu dans le grand tout

Tout !!!!!

Pas plus qu’un peu, vraiment tout !


Retiens toi de t’y perdre.



Prends-y plaisir.

Tu y as droit.

Cette incarnation n’est pas là pour se mettre à la place d’une autre.

Elle est elle-même.

Que veut-elle ?




Chérir la chair

Choir échouer et chier

Charade chargée de chanvre





Champs plus attendre, passons à la suite.

A quoi bon changer perpétuellement, sans jamais se focaliser sur un sujet ?

Il y a une bonne raison, j’en ai une.



Ravin reviens-moi, ramène la queue de l’ange que tu as percé, tu ne l’as plus mais tu l’as encore voulu, tu le savais, sage enchanteur malfaisant agaçant, dépassant ce qu’il n’y a pas de pas beau.


Pas un pas ou pourquoi je ne suis plus là.


Qûete crapule garde à toi crapaud qui me traque et me quaresse.


Je m’envole énivré dans une volupté volubile, oh ne me retiens pas, je sais aller loin et revenir.


Sans plus attendre.

Je guette l’arrivée de l’ange qui me bénira de son don divin, je languis sa présence mélancolique qui me dénoue de toute situation dramatique.


Continuité sans fun, amusement sans fin


Sens ta faim et mesure la hauteur de la souffrance que le monde vit. Tu n’en perçois qu’une miette.



Rhabille toi, orne ton corps, remets le vêtement à sa fonction suprême et brille de tout ton être.

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